A la recherche d'une patrie................[refusée]

K-nary... un nom supporté et non moins supportable, un jeune écaflip sans patrie ne sachant d'où il vient et ignorant ou il va, une conviction certaine celle d'avoir choisi le bon camp en s'étant rallié aux force de Brakmar la cité de l'ombre.
K-nary... une errance peuplée de nombreux obstacle nottement celle de défendre seul ses idéaux Brakmariens mais motivé par cette ambition... ce besoin incommensurable de se battre et d'être respecté parmi les siens.
K-nary... guidé par une envie... un besoin... une obsession...
Il découvrit un jour une faction du nom de Daedrik, un clan Brakmarien regroupant ses idéaux qui sévirait dans le monde des douze.
après s'être renseigné à leur sujet il lui parut évident qu'il devait tenter de les rallier mais une question le tourmentait: existent-ils toujours? Ce clan a-t-il été dissolu?
Il ne trouva qu'un moyen de répondre à ses interrogations: se renseigner, mener une enquête,
chercher des membres actuels du clan.
Durant une semaine, nuits et jours il interrogea, questionna pour finir par découvrir que le clan existait encore. Ce fut un soulagement, et il décida donc immédiatement de tenter de s'y intégrer.

Au court de son enquête K-nary découvris que le palais Daedrik se trouvais non loin de l'atelier des forgerons en Brakmar.
En s'y rendant ce fut le choc... jamais il n'avait remarqué telle bâtisse et se demandais comment il a pu passer tant de temps au sein de sa cité et regarder sans jamais voir...
Il passa d'abord une journée devant l'édifice a espérer rencontrer quelqu'un afin d'avoir un premier contact avec la faction tant attendue. En vain, il ne vis personne y entrer ni même en sortir.

K-nary se hâte, il ne supporte plus l'attente, l'ignorance, et décide de se lancer et de pénétrer dans ce lieu en espérant trouver ce qu'il cherche...
"Bonjour... êtes vous dans l'ombre ou suis-je seul? Je vous ai cherché durant de long moments vous ai-je trouvé?"

K-nary écoute l'écho de sa voix en attendant d'entendre une voix qui n'est pas la sienne...

Des raclements de griffes se faisaient entendre sur le marbre du palais et une vois s'éleva en réponse :
- Tu nous a trouvé. Quand à savoir si c'est bien nous que tu cherches, c'est une autre histoire. Nous somme la Légion Pourpre, garde des Aedriks. Quel est ton nom et les raisons de ta quête, voyageur ?

Les battements de son cœur s'emballent, non de la peur mais un soulagement il savait enfin que ses recherches atteignaient un aboutissement.

"Je me nomme K-nary et je suis ici pour savoir si la Légion Pourpre à besoin de moi, je souhaite rejoindre vos rang." Lança-t-il.

"Mon parcours m'a mené jusqu'à vous car vos principes m'intéresse et je pense être parfaitement capable de les assimiler; comme les autres postulants je suis évidement Brakmarien et fier de l'être j'assume donc complètement ce statut. Pour finir si cela rentre en ligne de compte j'ai eu de petit différent avec les Archangel qui seraient de vieux énemis." Sa gorge se serre

"Mon épée est à vous si vous l'acceptez, mes pensées vous appartiennent déjà."
Dit-il calmement tout en s'inclinant; il sort sa lame de son fourreau et sans se relever la tend symboliquement devant lui.

Takumasato restait dans l’ombre fixant le voyageur. Heurté par la réponse,il s’exclama.

-On ne recrute pas les petits brakmariens ici mais des démons et pas les premiers venus.
Et à part ton cure-dent que peux-tu nous offrir d’autre?

K-nary se relève offensé par cette appellation

"nombreux sont ceux qui on péri sous ma lame et mon courage n'a d'égal que son tranchant si vous en doutez encore rien ne vous empêche de le vérifier par vous même,quand à ce que j'ai à offrir, du courage des connaissance et ma cruauté à votre service; et si mes compétences doivent être vérifiées j'accepterai avec joie que ce soit par vos soin!"

K-nary regarde autour de lui comme méfiant il range sa lame mais garde la main sur son fourreau se demandant s'il doit s'attendre à des hostilités, non pas guidé par la peur mais plutôt la raison.

- C'est long, ça pique... Comme un cure-dent en somme. Mais là n'est pas la question. Takumasato se demandait simplement en quoi un Brâkmarien comme toi pouvait bien vouloir nous rejoindre plutôt que des regroupements de personnes dont l'idéologie lui correspondrai plus.

Il retire la main de son fourreau et regarde Kageyami dans les yeux.

"Je ne suis pas Brakmarien mais démon j'assume mes ailes pour ce qu'elle sont et non une cité qui dit être notre maitre, je me suis intéressé à vous à partir du moment ou je vous ai découvert, je n'ai cessé de penser que je devais vous rejoindre; aucune autre faction ne me semble sérieuse. En effet je n'ai pas trouvé d'autre groupement qui me paraissait à mon goût je n'ai vu que de banals Brakmariens se regroupant sans être groupé et ignorant ce qu'est l'unité. Vous m'avez paru différent et c'est pourquoi vous avez retenu mon attention et c'est pourquoi je m'efforce de retenir la vôtre."

K-nary cherche des yeux un endroit ou s'asseoir mais avant d'avoir trouvé lance:
"Je ne suis pas démon par choix je l'ai toujours été au font de moi et ce même si j'ai eu le choix à un moment donné; je n'ai trouvé personne me ressemblant dans le monde des douze et me pensait seul mais votre cruauté notamment envers la vermine bontarienne me laisse penser que nous nous ressemblons."

Tu sens la contradiction à plein nez...

Si on se contenterait seulement des bontariens, on se sentirait inutile. J'ai l'impression que tu ne cernes pas la différence entre brakmarien et démon.

"Les brakmarien représente leurs cité il s'agit de leur patrie les demon ne représentes qu'un état une idéologie un Brakmarien ne l'est plus sans Brakmar un démon est et demeure à jamais un démon c'est la ce que je pense..."

L'ecaflip regarde Takumasato dans les yeux:
"Tes pensées ne t'autorise pas à me prendre de haut j'espere donc qu'il n'en est rien!"

Il se calme reprend son souffle et ajoute:
"j'ai d'abord utilisé le terme de Brakmarien car à force d'être côtoyé par des gens qui font l'amalgame j'ai pris l'habitude de rejoindre ces terme, je n'en ai point associé le sens mais malheureusement dans le monde des douze les expressions sont mal employé et je m'en excuse si cela a apporté la confusion."

K-nary remet sa main sur son fourreau non signe d'hostilité mais juste par habitude et précise:
"je suis la de mon propre chef et pour me soumettre à vos règle et non à vos membres et il serait regrettable de ternir les bases de la relation que nous entretenons..."

Un sourire plein de cette malice propre a certains prédateurs sadiques vient éclairer le visage à moitié dissimulé de l'Osamodas :
- Te soumettre à nos règles et pas à nos membres ? Tu es amusant. Sache, jeune félin, que nous n'avons pas de légionnaire que le nom. En effet, nous sommes une forme armée et rigidement hiérarchisée... Manque de chance pour toi, Takumasato et moi-même sommes parmi les plus haut gradé et, que tu le veuille ou non, une fois entré chez nous un postulant n'est rien. Autrement dit tu serais forcé d'obéir à chacun de nos membres... Y compris les moins gradés.

Il se retourne pour se diriger vers les piaillements plaintifs des bêtes dont il s'occupe tout en continuant de parler, l'air las :
- Ton manque d'humilité te portera toujours préjudice. J'espère que tu ne verra pas d'inconvénients à ce que je te laisse aller jusqu'a la porte tout seul. J'ai autre chose à faire et je crois que ton égo surdimensionné en prendrait un coup... Une dernière petite chose : la Légion Pourpre est apatride... pour le moment. Celà signifie que nous n'obéissons qu'a une loi : la notre. Nous nous autorisons ce que nous souhaitons, y compris te prendre de haut.

" Je trouve regrettable que les choses se soient passé ainsi mais je ne pouvais me soumettre avant d'être accepté... et jusqu'à présent je n'ai suivis que mes propres règles. Quand aux préjudices que me porterons mon caractère à présent ils ne regardent plus que moi..."

Il sourit, se retourne, lève la main en signe d'au-revoir:
"eh bien peut-être nos chemins se recroiseront-il un jour n'étant pas le bienvenu je reprend ma route,ce fut un plaisir presque entier et je n'ai nul besoin d'être accompagné par quelqu'un qui ne le souhaite pas; sur ce je vous souhaite d'avancer et de conserver ce qui vous rend unique pour ma part je retourne à mon errance et me contenterai de vous regarder de loin."
L'ecaflip abaisse sa main:
"Au revoir et à bientôt je l'espère"