Un petit tour et puis sans va.. a mon tour

la non plus

Un morceau de parchemin se trouve glissé auprès de ces mots:

Permettras-tu ?

Permettras-tu que je glisse ici ces mots ?
J’ose en me disant que tu les brûleras s’ils t’importunent

Je crois déceler en tes phrases une force qui me manque à ce jour
A travers mes boucliers une puissance m’a mise à mal, me laissant sans recours
Sans nous connaître vraiment il me semble que nous combattons un ennemi semblable
Parviens tu a l’anéantir ? Je n’arrive qu’à le subir.. Je demande ici ton aide, n’osant le faire autrement
Mes forces me fuyant comme entre mes doigts le ferait du sable..
Mes plus grandes alchimies ne parviennent à calmer mon tourment
Je dépose ici même l’aveu d’une faiblesse honteuse
Quémandant auprès de toi un peu d’aide, la tête basse, telle une gueuse

( le terme de "bruler" est choisit a des fins rp, si tu désires mon edition je le ferais sans hésiter si tu trouves que mon post est déplacé vis à vis de ce que tu as prévu de ton coté Wink

)

décidément c'est une épidémie

Les rimes sont parfois plus simples à déclamer que les phrases crues et brutales
Et quel plus bel hommage à un être que l’on aime où que l’on hait ?
Car entre ces deux sentiments peu d’espace s’il en est
On peut aimer au crépuscule et haïr dans la lumière vespérale

Je me consume d’une colère qui ne se dirige que contre moi
A trop vouloir toucher un être je me suis brûlé les doigts
Un Xelor a prit possession de mon âme et de ma vie
Et depuis ses absences celle-ci me fuit

As-tu déjà trouvé étoile plus brillante
Que celle dont on partage la vue avec un tel être ?
Ses départs me brisent et me laissent pantelante
Se retours trop brefs vers la folie me jettent...

Je te pensais remise en lisant tes vers
Mais tu m’avoues ici n’être encore qu’une proie
Pour cette nuit sans astres où la fuite de l’autre nous envoie
Pour ces vagues de douleurs plus violentes que toutes les mers

Sœurs de ce Clan né du sang et de la violence,
Acceptes tu ma main afin que nos peines s’épanchent
Toi dans le renoncement, moi dans l’oubli
Si l’attente reste mon seul droit qu’elle se passe proche d’une amie...

loul :/

Peine à mon âme pour ce châtiment qui fut tien
Sombre et calme, ce chagrin n'en est rien
Souviens toi de mes mots murmurés
Leurs sens sont multiples et destinés

Ils errent au gré du vent puéril, indélicat
Touchant, macabre, sot parfois
Tu y as trouvé quelque chose à jamais
Garde le dans ton cœur car il est né,

Ce sentiment confus qui te fait vivre
Pardonne moi ce silence, il me faut survivre.
A la prochaine lune je reviendrai,
Pour être devant, toi te parler,

Seras-tu là?

Si je reviens c'est pour toi,
Juste pour te soulager pour une fois
Si ma présence cause plus de mal que de bien
Je resterai dans l'ombre, ton choix sera le mien

Je ne cherche pas à remuer cette dague invisible
Qui s'est retrouvée en toi je ne sais encore comment
Je ne pense pas être fautive ou méprisable
Relâche ta main de celle ci, abandonne moi au vent

Laisse toi courir, le monde est vaste
Ouvre les yeux sur ces immondes qui le peuple
Le cœur est souvent aveugle du bon chemin
Celui de la raison, où la peine n'est rien

Un jour tu porteras sur moi le regard de la haine
Comme tant d'autre l'on fait, condamnée, châtiée
Maintenant si ton cœur s'ordonne, et te pardonne
Je serai là, devant toi, prête à comprendre à t'écouter

Mille lunes se seront passées, un sourire sur tes lèvres
Un goût de fête, une odeur de joie
Ô combien ces moments seront agréables
Enlève ce drapeau en berne ce n'est pas moi.

m'enfin

J'ai cru que tu serais là..
J'ai cru que nous parlerions des heures...
J'ai cru encore en toi..
J'ai cru sans aucune peur..

Quelle faiblesse....

.... la faiblesse est une force
il faut savoir l'ouvrir comme une porte
Et voir plus loin que le bout de son nez
Aucun sentiement n'est réellement partager

Les adages sont des mots dans le vent,
Nous sommes tous la solution de la notre probleme
Ouvre ton coeur, tue cette peine,
Accepte et Subis ce chatiment

Tu as cru en tes actes rêvés
Tu n'as pas su les cueillir
Ton ame est faite pour rever
Et ton corps pour agir,

Ouvre les yeux, leve toi,
Il est temps d'assumer tes actes
D'y croire un peu plus, c'est ton pacte
Tu es un homme montre le moi.

mais flute!

Adieu

j'abandonne

Le soleil se lève sur ses pieds
Dans son lit à demi réveillée
Les cheveux étalés de tout leur long
Laisse entrevoir un visage, une chanson

Chaleur, repos, apaisement, quel plaisir !
De se réveiller sans remord, mugir
Qu’ils sont bon ces matins de paix
Sans remord ni regret d’aucun fait

La peine d’aujourd’hui attendra demain
A quoi bon souffrir maintenant
L’âme en berne ne sert à rien
Le plaisir, rien que le plaisir, toujours le plaisir

Si celui ci est dans la fuite
Tant mieux il est au moins là !
Courir mais pour chercher quoi
Elle doit bien le savoir, attendons la suite.

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