bonsoir:
[HRP] Voici ma première candidature j'espère qu'elle vous plaira[/HRP]
L’épée dansa sous la lune
et le sang gicla…
sarteck faisait tournoyer son épée au-dessus du corps sans vie de son ennemi. Se délectant de voir le sang couler à travers la gorge perforée de l’homme. Autour d’elle, le village était à feu et à sang. Il y a encore quelques minutes c’était un magnifique petit village de la Montagne des Koalaks. Maintenant tout n’était que ruine. Elle s’avança vers une des rares maison intacte, défonçant la porte elle aperçut deux petites ombres blotties dans un coin de l’unique pièce.
Elle se dirigea vers la masse noire qui se recroquevillait de plus en plus comme pour chercher à disparaître dans l’ombre de la nuit. Grâce à ses yeux de chats sarteck distingua deux jeunes enfants.
« Pitié nous tuez pas s’iouplaît m’dame, nous faîtes pas de mal. »
sarteck essuya sa lame et lança un sourire carnassier au deux enfants, laissant apparaître ses dents pointues…
sarteck ressortie de la maison la lame dégoulinante de sang… Elle ramassa une bûche en feu et la lança sur le toit de la maison qui s’embrasa comme un fétu de paille. Elle continua sa sinistre marche à travers le village… A minuit, quand les loups lancèrent leurs hurlements à vous glacer les sangs, elle rappela ses hommes et ils firent le compte du butin.
« 23.000 Kamas… Pas mal » se dit sarteck .
« -Allez on s’en va on a assez pillé ici. » rugit sarteck
La troupe de sarteck partit laissant derrière elle les restes fumant du village. Ils marchèrent longtemps à travers la montagne, empruntant chemins escarpés, passages secrets, souterrains. Enfin ils arrivèrent devant une immense grotte dont l’entrée était gardée par deux hommes à la mine patibulaire.
« Déchargez tout et apportez la viande au cuisinier on fera le tri après le repas. »
Après un somptueux festin de viandes diverses les bandits se rassemblèrent devant l’entrée et se partagèrent leur prise. Comme à leurs habitudes les bandits voulurent faire une fête pour la victoire du jour.
« -Pas ce soir, leur dit sarteck , demain nous avons le convoi de fond du Roi Allister à attaquer. Et pas de protestations sinon...
-Oui chef ! »Brailla la masse d’homme devant elle.
sarteck rejoignit sa couche et regarda le feu se consumer avant de sombrer dans sommeil abyssal.
Le soleil pointa
et le coq chanta
Le soleil s’élevait lentement dans le ciel azur illuminant la terre de sa bienfaisante lumière. sarteck et ses hommes commençaient à se préparaient pour l’assaut du convoi. Quand ils furent prêts sarteck prit la tête de file, qui contenait une cinquantaine d’hommes.
« -Allez on y va et pas de traînards on a trois heures de marche devant nous ! »
Alors commença leur difficile marche à travers la montagne. Après avoir traversé nombreux marécages, forêts et campements, la troupe parvint sur une grande route Amaknéenne bordée d’arbres et de buissons
« -Cachez vous et attendez mon signal pour attaquer. » ordonna sarteck
Les brigands s’exécutèrent, se cachant dans les nombreux frênes et châtaigniers présents, et bientôt une grande caravane entourée d’une vingtaine de miliciens montés arriva. sarteck lança un long sifflement sonore et comme un seul homme les cinquante bandits se jetèrent sur la carriole. Le cocher sortit une petite cloche de sa poche et la secoua énergiquement. Les portes de la caravane s’ouvrirent et cent hommes à pieds en sortirent. Les hommes de sarteck se brisèrent contre la rangée de guerrier. sarteck , d’un grand bond félin, sauta pardessus ses hommes et fit des moulinets avec son épée tranchant ainsi plusieurs têtes. L’affrontement fut bref, les hommes de sarteck furent laminés par l’escorte du convoi. Mais ils ne rendirent pas l’âme sans ôter la vie à un grand nombre de soldats. sarteck se bâtant seul, fût bientôt entourée d’une quarantaine d’homme tous prêts à la découper en rondelles de leur hallebardes.
L’Ecaflip se jeta sur le plus proche d’elle et lui enfonça son épée en plein cœur mais avant d’avoir fait le moindre geste elle fût frapper sur la tête et s’effondra assommer.
Lorsque que sarteck se réveilla elle était dans une grande salle blanche, elle ressentit bientôt une grande douleur à la tête e sombra de nouveau. A son nouveau réveil elle vit une dizaine de garde entourant un grand homme portant un gilet bordeaux et une longue robe blanche ainsi qu’une longue barbe qui lui descendait jusqu’au hanches.
«- Mon nom est Amayiro je suis le chef de la milice de Bonta et membre du Grand Conseil de Bonta.
- Enchanté. Dit sarteck encore endormi.
-Tu as était emmené ici à la suite de l’attaque que tu as menée contre le convoi destiné au Roi Allister.
-Pourquoi je ne suis pas dans les geôles du Roi ?
-Allister à préféré s’en remettre à nos services.
-D’accord, d’accord et sinon, je sors quand ?
-Pas avant très longtemps, compte tenue de la gravité de ton attaque tu seras jugé devant le Conseil de Bonta !
-Ah ? C’est cool ça et sinon je peux avoir à manger ? »
Amayiro ne prit pas la peine de répondre et quitta la salle. sarteck se rendormit avec un sourire aux lèvres.
Plus tard dans la soirée un milicien vint la réveiller pour l’amener à la
mairie de Bonta. Après un cour voyage en Tabi elle arriva devant
l’immense bâtiment en pierre de Craqueleurs des plaines. Elle fût menée
dans la chambre du Conseil, une fois dans la salle elle fût mise sur une chaise devant le Conseil au complet.
Une forte voix s’éleva devant elle :
« -sarteck tu vas être jugée devant le Conseil de Bonta par les juges Elviana Tirips, Amayiro et Satirev Onirin. Des questions ? Non ? Alors commençons ! Première question : Nom, age et comment êtes-vous devenue chef des bandits Piwau-Mhan.
- Mon nom est sarteck , j’ai approximativement 22 ans. J’ai était trouvé par chaude nuit de Maisial par un des capitaines du clan. On m’a enseigné les arts de la guerre et les arcannes du feu. Lors de ma dix-septième année j’ai défié le chef du clan et je l’ai vaincu en combat singulier, depuis je dirige le clan.
-Très bien, gardes emmenez la prisonnière nous la rappellerons quand nous aurons avancé l’enquête. »
Deux semaines plus tard…
« Prisonnière sarteck vous êtes attendue à la Salle du Conseille, veuillez nous suivre. »dit un commandant de milice.
sarteck se releva et regarda le milicien avec un sourire.
« Okay j’arrive »
Quelques minutes après sarteck se retrouva dans la même salle devant les trois hauts juges. Satirev Onivin prit la parole sur un ton jovial :
« -sarteck , vous avez été condamné pour les faits suivant : Rapts, meurtres avec préméditations, agression sur garde Royale et sur personne de sang royal, destruction de six cents vingt-deux villages, massacre de bouftous, destruction de biens publique, vol à l’étalage, braquage de la grande Banque d’Astrub, insulte envers personne de sang royal et vous êtes soupçonnée de complicité envers l’ennemie Brâkmarien. C’est pourquoi en notre âme en conscience nous vous condamnons à la peine de mort avec un sursis d’une année pour que vous nous délivriez les informations que vous avez sur Brâkmar. Vous pouvez ramener la prisonnière dans sa cellule. »
Les canons crachèrent leurs châtiments divins
et les mures s’effondrèrent.
sarteck sentit la cité blanche trembler sous les projectiles de feu. Elle comprit qu’il s’agissait d’une attaque des démons sur la cité. Enfin les Brâkmariens étaient venu, Kaylys avait espéré cette attaque durant les sept longs mois qu’elle avait passé en prison. Au bout de quelques minutes sarteck entendit des bruits précipités dans l’escalier, et elle vit une demi-douzaine de Brâkmariens défoncer la porte de sa cellule.
« -Vous êtes bien la chef des bandits Piwau-Mhan sarteck Kaylys ? demanda un Brâkmarien.
-Evidement qu’oui
-Très bien prenez cette potion. »
L’homme lui tendit une petite fiole rouge que sarteck s’empressa d’avaler. Elle sentit alors son corps se décomposer, se ratatiner sur lui-même. Elle eût l’impression d’être détruit et transportée à la vitesse de la lumière à travers le Monde des Douze. Après un centième de millième de seconde elle arriva sur les dalles froides et noires de Brâkmar, devant elle se tenait un grand homme, dans une tenue de samouraï portant fièrement un grand casque à cornes.
Oto Mustam lui adressa la parole, sur un ton qui laissé transparaître son envie de tuer :
« - sarteck à tu fais bon voyage ?
-Oui, dit elle avec un grand sourire, mais vous auriez pu vous dépêchez pour me délivrer. Ces geôles sont pires que les votre et j’en sait quelque chose ! »
Le chef de la milice éclata d’un rire qui fit tremblé les mures de la tour.
« -As-tu des informations sur la cité des anges ? demanda le démon.
-Oui, répondit sarteck , la trois grands dirigeant de la cité se querelle entre eux, la tension est à son comble ils suffirait d’introduire un agent pour perturber le système et la cité s’auto détruirait.
-Très bien, très bien, raccompagnez-la dans sa chambre. »
Le soleil tentait de percer à travers les lourds nuages qui recouvraient Brâkmar, en un même temps sarteck se réveillais d’une longue nuit de sommeil agité. A peine était elle réveillais qu’elle reçu la visite d’Oto Mustam.
« -sarteck ta mission étant à présent terminée tu n’es plus autorisé à rester dans la milice. Nous te payeront les huit cents milles kamas promit et après tu devras partir.
- Partir ? Mais que voulez-vous que je fasse, mon clan à était décimé je n’ai plus de maison, de famille qu’est-ce que je vais faire ?
- A toi de voir mais il me semble qu' un clan existe depuis peu en Amakna les daedriks je crois. Enfin bref ce n’est plus mon problème tu dois être parti avant minuit ce soir ! »
sarteck attendit qu’Oto Mustam soit sorti pour se lever et s’habiller. Une fois prête elle descendit au rez-de-chaussée pour réclamer son dû. Après avoir était payé elle quitta la milice faire quelques emplettes pour le long voyage qui l’attendait…
sarteck était prête, elle se tenait devant la grande porte de Brâkmar.Ma voie serait-elle tracée chez les daedriks??
« Pourquoi pas » se dit-elle en s’élancent à travers le Monde des Douze.
Sarteck se rendit au palais daedrik et chercha l'entrée, il la trouva et sur la grande porte se trouvait un parchemin:il lut:
*Tout être pénétrant en ce lieu devra prouver sa valeur et son courage*.Etant prêt, elle toqua a la porte.
Cordialement:sarteck
